Quel est le salaire d'un vendeur dans un magasin de bricolage ?
Nous avons demandé à Omer (59 ans) de Gand en quoi consistait son métier et combien il gagnait…
« Je m'occupe de la gestion quotidienne de l'entreprise. Mon éventail de tâches est varié et j’endosse de nombreuses responsabilités. Je supervise notamment des collègues occupant des postes de chefs de projets, d'employés de back-office, ou encore des équipes travaillant sur le terrain. »
« Ensuite, le marketing occupe une place importante dans mon travail. Je gère les budgets ainsi que le réseautage avec les clients et les fournisseurs. Enfin, je suis chargé du recrutement de nouveaux collaborateurs. »
« J'ai étudié la gestion événementielle et j'ai directement pu commencer à travailler dans ce secteur après mes études. Cela m'a permis d'acquérir de l'expérience dans tous les aspects de l’événementiel et de connaître tant le côté client que le côté fournisseur. Je comprends très rapidement les besoins spécifiques de clients spécifiques. »
« Mon travail était très agréable… jusqu’au premier confinement. L'ensemble du secteur a été à l’arrêt pendant longtemps, ce qui a impacté négativement la motivation de certains collaborateurs. Le secteur de l'événementiel reste pour moi un monde passionnant, créatif et stimulant. Travailler avec un client vers un objectif final, à savoir organiser un événement réussi et atteindre cet objectif, est quelque chose de très satisfaisant. »
« De plus, mes journées de travail sont très variées. Il y a toujours des demandes ou des changements de dernière minute ou quelque chose qui ne va pas. Il faut pouvoir agir rapidement en cas de situation de crise et procéder à des ajustements si nécessaire. Je travaille aussi bien sur de petits événements privés que des grands rassemblements publics, et parfois même à l'étranger. Chaque jour est différent. »
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« Nous travaillons 39,5 heures par semaine. Cela signifie que nous bénéficions de 10 jours de congé supplémentaires par an. Lors des périodes plus calmes, nous travaillons de 09h00 à 17h00 mais, en cas de rush, nous continuons à travailler sans compter nos heures que les projets soient terminés à temps. »
« Heureusement, il y a un bon équilibre entre les périodes chargées et moins chargées. De cette façon, nous pouvons récupérer après les périodes de rush. Dans le secteur de l'événementiel, il est également logique de travailler le soir et/ou le week-end car beaucoup d’événements ont lieu à ce moment-là. »
« Pour les responsabilités que j'ai, je sens que mon poste est valorisé. Si l'équipe s'agrandissait, je considérerais comme logique que mon salaire augmente mais, pour le moment, je le trouve correct. »
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« Bien sûr. Si je peux toucher un salaire plus élevé dans un poste similaire au sein du secteur, pourquoi pas ? En revanche, la satisfaction au travail est essentielle et, personnellement, je trouve que l'équilibre vie privée-vie professionnelle reste plus important que l'argent. »
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« Nous parvenons à mettre de l'argent de côté tous les mois. Nous économisons un montant mensuel destiné aux enfants et avons commencé un plan d'investissement pour eux. Nous avons aussi une épargne pension et, dans la plupart des cas, il nous reste encore une belle somme à déposer sur notre compte épargne. S'il y a des travaux à faire dans notre maison ou si d'autres frais importants surviennent, nous économisons un peu moins. »
« Au prêt hypothécaire et aux frais fixes comme le gaz et l'électricité. »
« Au cours des deux dernières années, l'ensemble du secteur était régulièrement complètement fermé pendant plusieurs mois. Cela a bien évidemment eu un impact énorme sur les salaires. J’ai par exemple travaillé à 50% pendant plusieurs mois, ce qui signifie que la moitié de mon salaire a été perdue et qu'une allocation m’a été versée en guise de compensation. Cela s’est également reflété ma déclaration d’impôts et a fait une grande différence sur base annuelle. De plus, les chèques-repas ont également partiellement disparu pendant les différents confinements. »
« Enfin, notre manière de travailler a énormément changé à cause de la crise. Comme beaucoup de gens, j'ai travaillé à domicile, les réunions se déroulaient en ligne et il y avait moins de contacts avec les collègues. Les interactions directes avec les clients ont diminué et j'ai moins fait de visites sur le terrain. En réalité, le contenu de ma fonction était totalement différent. »
« Le volet administratif a pris énormément d’importance. De plus, vous devez être capable de réagir à tout moment. Vous devez être joignable dès qu’un projet se présente. En raison des changements permanents en matière d’interdiction et d’autorisation d’événements, ils y a eu des pics beaucoup plus élevés et des périodes beaucoup plus creuses en matière de temps de travail. »
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« Non, je ne m'en occupe pas pour le moment. Je ne suis pas du genre à planifier dix ans à l'avance, et encore moins trente ans. Ma femme est plus concernée par la thématique de la pension. »
« À des gadgets onéreux ou aux derniers appareils technologiques, aux vêtements de marque et aux produits de marque en général. Au supermarché, nous achetons principalement des marques blanches. Lorsque nous achetons des vêtements de marque, c'est d'occasion ou pendant les soldes. La seule marque à laquelle je tiens est celle de ma pâte à tartiner aux noisettes préférée. »
« Nous ne lésinons pas sur la détente. Nous aimons manger au restaurant et voyager en famille ou entre amis. Même quand nous partons en vacances, nous ne comptons pas notre argent. »
« Je déménagerais vers une destination ensoleillée. Je n'arrêterai pas de travailler de sitôt. Je créerais peut-être ma propre entreprise ou j’investirais dans de jeunes entrepreneurs. »
Et vous ? Continueriez-vous à travailler après avoir gagné à la loterie ?
(ss/eh)
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