8 façons de ruiner votre journée de travail
Le fait de passer une bonne ou une mauvaise journée de travail ne dépend pas de vos collègues ou de vos clients. Vous en êtes le/la principal(e) responsable.
Nous nous disons souvent de ne pas nous plaindre et d'apprécier ce que nous avons. Par cette 'compulsion' à la gratitude, nous essayons d'éviter les émotions négatives mais, attention, celles-ci sommeillent en vous. Il s’agit du côté obscur de la gratitude : vous êtes prêt à accepter une situation qui vous rend malheureux.
Dans la culture individualiste des États-Unis, les employés considèrent les plus petites faveurs de leurs employeurs comme une énorme bénédiction. En revanche, au Royaume-Uni, la devise est : "Une rémunération journalière équitable pour une journée de travail équitable". En d'autres termes, un travail doit être synonyme d’échange équitable.
La gratitude mal placée est aussi un piège. Cela peut conduire à un 'comportement négatif' de la part des employeurs parce qu'ils savent que leurs employés ne se plaindront pas ou ne partiront pas en raison de préoccupations concernant les pénuries d'emplois. Les conséquences de la COVID-19 sont donc l'excuse idéale pour payer moins les employés ou pour que moins de personnes travaillent davantage. Si les gens sont reconnaissants d'avoir un emploi, cela peut les empêcher de défendre leurs droits.
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La gratitude doit toujours venir des deux côtés. Les employeurs devraient être reconnaissants envers les employés qui travaillent plus d'heures que d'habitude pour maintenir à flot l'entreprise en difficulté, qui ont converti leur maison en lieu de travail et dont le 'bouton d'activation' s'allume et s'éteint plus tôt qu'au bureau. D’autre part, les employés devraient être reconnaissants envers leurs patrons qui ne les ont pas abandonnés lorsque les bénéfices ont chuté.
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Et puis, il y a cette fameuse zone grise. Celle-ci se situe entre être sincèrement reconnaissant pour votre travail et se plaindre légitimement au sujet du même travail. Il n’y a aucun problème à jongler avec ces deux émotions. Cette zone grise est l'endroit idéal pour examiner de manière critique votre gratitude. Être reconnaissant n'est approprié que si votre patron ou votre employeur agit de manière vraiment altruiste. Vous pouvez le déterminer en répondant aux trois questions suivantes :
Répondre à ces questions peut raccourcir la liste des éléments pour lesquels vous êtes reconnaissant. Vous serez à la fois plus susceptible de ressentir les puissants avantages de votre travail. Si votre employeur mérite vraiment vos remerciements, vous serez peut-être plus satisfait de votre travail. Si ce n'est pas le cas, vous serez mieux placé pour en connaître la raison et changer la situation.
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(dt/em/eh) - Source : BBC
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