Que coûte la peur de l'échec et comment la surmonter ?

« Dans mon premier emploi, je n'osais pas aller voir mon patron très occupé pour lui parler des choses qui me posaient problème. J'avais peur de prendre trop de temps, de poser des questions stupides et - peut-être le pire encore - d'être catégorisée d'une manière ou d'une autre », confesse Inge Ketels, coach en confiance en soi.

« J'ai donc réinventé la roue moi-même. Le fait que cela prenne plus de temps, que je sois probablement moins en phase avec la vision et les objectifs de l'organisation, que je travaille dur mais que je n'atteigne pas une productivité optimale, était quelque chose qui nous échappait à tous les deux ».

Peur de l'échec

Le manque d'audace provient souvent d'une émotion naturelle, la peur de l'échec. Après tout, se montrer et se défendre évoque par définition la peur de l'échec. Vous pensez à quelque chose, qu'il s'agisse d'une stratégie, de la rédaction d'un rapport ou d'une question : vous allez défendre votre point de vue et prenez le risque que les gens n'apprécient pas ou même l'ignorent.

La peur de l'échec vous pousse à éviter les contacts avec vos collègues, vos clients ou votre manager. Vous n'allez pas de l’avant ou vous avez peur de proposer des idées. Ou encore, vous réagissez de manière inappropriée et vous vous mettez en colère, avec toutes les conséquences que cela implique.

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Tout cela coûte cher. Pour l'organisation, en termes de productivité, d'optimisation et même de chiffre d'affaires. Pour vous-même, cela vous coûte votre propre bien-être. Vous échouez et vous vous sentez mal dans votre peau. Mais la peur de l'échec ne peut exister que si elle est taboue et si vous avez un jugement négatif à son sujet. Bon nombre de personnes pensent par exemple d'elles-mêmes qu'elles ne devraient pas être là.

Que faire pour surmonter la peur de l'échec ?

1. Soyez conscient que la peur de l'échec fait partie du quotidien et qu'elle est donc tout à fait normale.
2. Entrez en contact avec des personnes qui peuvent vous être utiles et qui sont également prêtes à partager leur histoire.
3. Partager son histoire permet également de lever les tabous et de mieux gérer la situation.

Ainsi, la peur de l'échec diminue ou vous osez malgré tout prendre plus d'initiatives (lire : de risques).

« Je suis toujours reconnaissante de la conversation confidentielle que j'ai eue avec un directeur pour lequel je travaillais », témoigne Inge Ketels. « Pendant la pause-déjeuner, il m'a confié qu'il se sentait parfois toujours bien dans sa peau et avait peur que les autres s’en rendent compte ».

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Une meilleure collaboration

« J’ai osé frapper à sa porte avec mes insécurités, si bien que nous avons fini par former une super équipe de travail. Ce fut une expérience formidable qui m'a permis d'être moi-même. Et l'organisation ? Elle a bénéficié de mon engagement total, de ma motivation et de mon implication », conclut Inge Ketels.

C'est ce que font les participants pendant les programmes de formation ? Ils partagent entre eux ce qui va bien et ce qui leur fait peur. Il s'agit d’éléments concrets. Prendre conscience de la peur de l'échec est essentiel pour qu'elle ne soit plus un obstacle. Elle peut ainsi se transformer en innovation, en courage et... en meilleure collaboration !

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(ik/eh)

Envie d’oser davantage ? Prendre plus d'initiative dans votre organisation ? La piste du leadership intérieur est faite pour vous Inge Ketels, coach en confiance en soi, aide les personnes ayant fait des études supérieures qui ont le sentiment d'être bloquées. Celles-ci ne se sentent parfois pas sûres d'elles, n'osent pas prendre d’initiatives, veulent prendre les choses en main mais ne savent pas comment s'y prendre. Inge Ketels vous aide à tirer le meilleur de vous-même et à vivre pleinement votre vie en vous basant sur la confiance en soi et la fluidité. Vous trouverez de plus amples informations sur le site www.bureaustroom.be