Dois-je aller travailler après un accident de ski ?
Vous revenez couverts de bleus de vos vacances au ski et avez la jambe cassée… Devez-vous aller travailler ?
Afin de plaire à ces derniers, voici une série de choses très utiles à savoir...
Cela n’a aucun sens d’aller, de peur, suivre une formation pour upgrader vos connaissances et votre valeur sur le marché. La connaissance est naturellement importante, mais la réussite est plus une question de comportement et de personnalité. Qu’est-ce que j’ajoute, moi, humainement parlant, au produit ou au service de mon entreprise ?
Les compétences tombent de plus en plus vite dans le domaine public. En clair, vous pouvez faire ce que beaucoup d’autres font et donc ce n’est pas ou plus ce qui vous différencie. Ce qui aujourd’hui est une qualité très valorisée deviendra banale demain. Il y a dix ans, vous étiez une star si vous maîtrisiez le project management, aujourd’hui tout gestionnaire moyen vaque à 6 projets en même temps. Si vous voulez rester au sommet de la chaine de valeurs, vous devez vous développer de plus en plus rapidement. Vous devez donc travailler à votre valeur ajoutée. Car vos compétences deviennent des commodités, sans plus. Vous êtes remplaçable et vous sombrez dans une guerre des prix. En bref, vous devenez vite trop cher.
Analyser, créer, organiser et convaincre sont des caractéristiques qui seront toujours prisées. Elles sont dépendantes de votre personnalité, de vos compétences et sont liées à votre situation. Elles vous sont propres donc. Votre valeur se crée de plus en plus en rapport avec les autres. Tout l’enjeu est donc de bien gérer la relation avec votre patron, vos clients, vos collègues et vos fournisseurs. Comprendre les intérêts de l’autre est crucial. Le développement est moins une question de connaissances que de capacité à emmener les autres plus loin, tout en continuant à vous étonner ainsi qu’à les surprendre en permanence. Il est utile d’être capable de douter, d’accepter des émotions contraires et d’avoir peur. Les managers perdent de leur importance. CE sont des facilitateurs qui doivent pouvoir donner confiance et inspirer mais ils restent en arrière-plan.
On a tous envie d’être bien vu par son supérieur. Votre patron aussi. Il y est même vraisemblablement très sensible puisqu’il a déjà évolué dans la hiérarchie.
Votre patron peut-il se pavaner de ses réussites ? Son boss chérit-il l’innovation ? Alors abreuvez régulièrement à votre chef direct de nouvelles idées. Et tâchez d’irriter le moins possible le supérieur de votre chef.
Votre supérieur veut savoir ce que vous faites car son succès dépend de vous. S’il a l’impression de contrôler vos agissements, il vous laissera plus de liberté et vous donnera sa confiance et son support. Sinon, il aura tendance à davantage vous contrôler.
Alors, tenez votre patron au courant de vos occupations avant qu’il ne vous le demande. Autrement, il aura le sentiment de ne recevoir que lorsqu’il demande. Identifiez la manière avec laquelle il veut contrôler. Il est rationnel ? Donnez-lui des faits via email en restant bref. Il est plutôt de type émotionnel. Allez l’entretenir régulièrement pour lui raconter ce que vous faites.
On aime tous être encouragé. Même votre supérieur. Valorisez-le, c’est ainsi qu’il vous valorisera davantage aussi. La nature humaine est ainsi faite : on aime qui nous aime.
Complimentez votre chef de temps en temps, mais faites-le de manière subtile. Autrement, cela ressemblera à de la flatterie et cela ne sera bien pas perçu. Une manière subtile de le faire est de lui témoigner de l’intérêt. Opposez par exemple à une de ses suggestions un franc enthousiasme plutôt que de le critiquer. Ou demandez-lui où il a trouvé ce beau veston.
Comme le succès de votre boss dépend de vous, il est crucial qu’il puisse vous faire confiance. Il doit avoir le sentiment que vous servez ses intérêts. C’est à cette condition qu’il vous donnera sa confiance.
Montrez-lui donc qu’il peut compter sur vous. Il vous confie une mission que vous ne pouvez honorer vous-même ? Déléguez-la à quelqu’un qui en sait assez sur le sujet. Votre chef veut voir des résultats. Tenez bien compte de ses allergies. Il est rétif aux gens qui arrivent trop tard ? Soyez au bureau à l’heure le matin et n’arrivez jamais en retard aux réunions.
Les problèmes qui se répandent au reste de l’organisation influencent le succès de votre manager. Vous avez commis une erreur ? Il n’appréciera pas de la découvrir par lui-même ou de l’apprendre trop tard. Discutez donc à temps avec lui des grosses erreurs ou des problèmes en ayant soin d’amener quelques solutions possibles. Ne vous limitez pas à une seule option, sinon il aurait le sentiment désagréable qu’il n’a aucune influence sur vous. Présentez lui votre solution préférée sous un jour plus favorable que les autres. Ainsi vous ménagerez la chèvre et le choix, suivre son avis et faire tout de même ce dont vous avez envie.
24 juin 2013Vous revenez couverts de bleus de vos vacances au ski et avez la jambe cassée… Devez-vous aller travailler ?
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