Votre bureau est-il luxueux ?
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La grande et la petite distribution représentent environ 400 000 jobs dans notre pays. Un Belge actif sur sept travaille dans le secteur. Chaque année, ce dernier engage quelque 40 000 travailleurs. Ce sont naturellement pour beaucoup des emplois de remplacement. La création nette d’emplois représente ces dix dernières années trois à quatre mille jobs par an. Soit quelques 35.000 nouveaux emplois pourvus par le commerce de détail pendant cette période.
Ce qui est typique à l’embauche dans ce secteur du commerce, c’est la part relativement importante de travailleurs tant féminins que jeunes. 12% des travailleurs ont moins de 25 ans. 14,6% sont des personnes de plus de 50 ans. Dans les autres secteurs la moyenne est de 16,4%. Notable aussi, le nombre élevé de jobs d’étudiants. Chaque année, ils sont quelque 130 000 à travailler dans le commerce de détail.
La variété d’emplois dans le commerce est extrêmement importante, avec une répartition plus ou moins égale entre haut diplômés et autres travailleurs.
Pour les niveaux d’éducation inférieurs, souvent du personnel de magasin, la grande distribution, ou même la petite, est un ascenseur social, selon Dominique Michel : « Le commerce de détail propose des emplois variés et accessibles à des travailleurs non qualifiés. S’ils font bien leur travail, ils reçoivent toujours plus de responsabilités. Il n’est pas exceptionnel qu’un junior d’à peine 25 ans gère un point de vente de 20 collaborateurs. Il s’agit là de belles expériences. Je connais des CEO de chaines de magasins qui n’ont qu’un diplôme d’humanités en poche. »
Mais l’emploi évolue vite aussi dans le commerce. La prestation de services devient de plus en plus importante. « Tout le monde se met à présent à l’e-commerce et est donc à la recherche de nouveaux talents », ajoute-t-il. L’administrateur délégué le constate avec beaucoup de regrets, il n’y a pas de formation sur mesure spécifique au secteur qui puisse répondre à la demande. « Nous encourageons les parties prenantes à créer un cursus de bachelier en management de la distribution. Pour devenir directeur de magasin ou gérant, vous avez besoin de beaucoup de compétences. Vous devez pouvoir mener une équipe, tenir la comptabilité, avoir le sens du contact avec la clientèle ainsi que des connaissances logistiques, vous y connaître un peu en marketing, etc. »
Dans la vente de détail, les attentes sont élevées en matière de flexibilité du travail. « C’est une question de point de vue », entame Dominique Michel. « C’est justement ce qui attire certains travailleurs. Des prestations le week-end sont compensées par des disponibilités à d’autres moments. C’est une question de donner et de recevoir. Mais il est clair que sans flexibilité, le commerce ne peut survivre. Un supermarché qui a besoin le samedi de 20 personnes à la caisse n’a peut-être du travail que pour cinq le lundi. Il n’y a pas grand-chose à faire », poursuit-il.
Néanmoins, il faut garder un certain équilibre entre les intérêts de l’employeur et du travailleur. L’administrateur délégué se réfère aux rendez-vous qui ont lieu deux fois par an avec les syndicats sur les conditions de travail dans le secteur. « Il en ressort entre autres que quelqu’un qui a travaillé pendant cinq ans dans le commerce a droit à plus d’heures de travail. Nous avons ainsi imaginé plusieurs systèmes avec les syndicats », clôture D. Michel.
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12 mars 2013Le coronavirus a incité les entreprises à repenser leurs immeubles de bureaux. Ceux-ci sont souvent plus branchés ou plus luxueux qu'auparavant.
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