10 conseils pour une bonne culture d'entreprise
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"Une première tendance frappante est que, dans le secteur social, les employés pensent qu'ils ne peuvent pas facilement changer de travail alors qu'il existe pourtant beaucoup de professions en pénurie dans ce secteur. Seuls 40% des travailleurs estiment qu'il est facile de changer d'emploi contre 50% dans le secteur privé", déclare Chris Wuytens, directeur général d'Acerta Consult.
"Ils se sentent moins polyvalents et ont l'impression de ne pas être capables d'exercer certaines professions. Dans certains cas, cela est dû à leurs compétences spécifiques : ils choisissent d'exercer une fonction et semblent avoir moins d'ambition pour grandir et exercer un autre travail."
Un élément positif de l'analyse est qu'ils s'ennuient moins que dans d'autres secteurs. 33% des répondants aspirent à un nouveau chalenge professionnel d'ici 3 à 5 ans. Les employeurs devraient particulièrement tenir compte du fait que les employés s'attendent à devoir plus travailler à l'avenir : 40% dans le secteur social sans but lucratif contre 34% dans le secteur privé.
Les employés du Social Profit se surestiment au niveau des possibilité de croissance par rapport à ce que l'employeur évalue réellement. Les employeurs peuvent également jouer là-dessus.
Une tendance générale se distingue : le fait de changer de fonction au sein d'une même entreprise n'est pas facile et les possibilités de promotion sont plutôt limitées. Les travailleurs au sein du secteur social sans but lucratif confirment que les changements de fonction et opportunités de carrière sont plutôt limitées au sein des organisations.
Seuls 24% des travailleurs en soins de santé indiquent que leur employeur prend des initiatives en termes d'employabilité durable et que, dans 32% des cas, il n'est jamais question de compétences. Les opportunités de carrière ne sont que très rarement discutées.
Sur base des données ci-dessus, Chris Wuytens conclut qu'une meilleure compréhension entre l'employé et l'employeur est d'une grande importance, qu'il faut mettre l'accent sur les point forts des travailleurs et qu'une approche individuelle est primordiale. "Les employeurs dans le secteur du profit social devront être plus regardants au niveau des qualités individuelles des salariés. Les organisations devront se concentrer sur les points forts de leurs travailleurs, et ce sur base d'un dialogue continu avec les managers. Plus question d'évaluations annuelles s'articulant autour d'un système de mesure uniforme. Le manager devra plus souvent regarder ce qui anime les travailleurs ainsi que les talents individuels menant à l'excellence", déclare Chris Wuytens.
(eh/jy) – Nos remerciements à Acerta Consult.
26 avril 2016Même s’il n’existe pas de panacée, vous pouvez contribuer, en tant que collaborateur, à créer un environnement dans lequel vous prendrez plaisir à travailler...
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