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Alors, voici les 5 types de patrons à éviter à tout prix ...
C’est peut-être le plus frustrant de tous. Ce type de patron sait parfaitement comment le monde tourne, ce que toute l’entreprise pense, ce qui va se passer si vous faites ceci ou cela et pourquoi vous ne pouvez rien y faire. Il a également un avis à exprimer sur le véhicule que vous devez acheter, il connait le meilleur restaurant italien du pays et a même des leçons à vous donner en matière de ski ou de golf.
Même s’il est allé chercher toutes ses connaissances sur internet, il se comporte comme s’il était expert en tout. Certes, il se peut qu’il se soit construit la confiance exagérée qu’il a de lui-même grâce à plusieurs expériences positives mais dans la plupart des cas, il est victime de sa mauvaise personnalité.
Et les collaborateurs tout comme l’entreprise même peuvent réellement en être victimes. Car ce type de chef est non seulement exaspérant, il est aussi dangereux. Il n’écoute pas. Et cette ‘surdité’ ne facilite pas la discussion et la proposition de nouvelles idées. Il ne fait place aux améliorations que très tard. Personne, pas même l’individu le plus intelligent, ne peut être au centre d’absolument tout. Dans la vie professionnelle, chaque voix doit être entendue.
Si le patron ‘je sais tout’ est trop présent, son extrême inverse est trop absent. Ce qui n’est pas mieux. Ce type de patron est émotionnellement distant et se sent plus à l’aise dans son bureau la porte fermée, qu’au milieu de son équipe. Naturellement, il assiste aux réunions et remplit d’autres obligations mais il préfère rester assis derrière son ordinateur, porte fermée.
Il préfèrerait déléguer aux responsables RH la gestion de son équipe. Tout comme Monsieur ‘je sais tout’, ce type de patron est aussi dangereux mais pour une autre raison. Il n’inspire pas et ne parvient pas à motiver ses collaborateurs ni à les ‘engager’ dans l’organisation et leur travail. Et c’est bien cela le problème : les responsables ont besoin de leurs collaborateurs pour leurs affaires quotidiennes. Et le personnel a besoin de passion pour agir, ce qu’il ne peut leur offrir.
Des patrons, il peut y en avoir des médiocres, des insensibles, ou même des emmerdeurs ou tout en même temps.
En général, ils sont protégés par le haut, parce qu’ils peuvent amener sur la table les chiffres désirés. Mais avec leur comportement destructeur, ils gagnent bien rarement la confiance de gens. Un jour, ils se cassent tout de même la figure. C’est souvent plus tard qu’on ne le voudrait. Néanmoins, s’ils ne sont pas propriétaires de l’entreprise, soyez tranquille, ils finiront bien par devoir partir.
Mais un chef peut aussi être trop gentil. Celui qui dit oui à tout, qui est mou et qui ne peut prendre aucune décision ferme.
Ces chefs disent oui à tout le monde et peuvent rester des heures à tenter de rétablir l’erreur qu’ils ont commise. Ce type de patron se justifie tout le temps sous prétexte qu’il recherche le consensus mais en fait, il est mort de peur et ne veut s’opposer à quiconque. Son véritable agenda, il le garde pour lui.
Les chefs qui n’ont pas le courage de faire la part des choses ne sont pas de bons managers non plus pour l’entreprise. Tous les investissements ne se justifient pas dans la même mesure. Mais ce type de boss ne peut juger de la pertinence des idées, alors il distribue ses moyens comme s’il mettait du fromage sur une pizza : un peu partout. Imaginez-vous, s’il devait faire prendre des décisions fermes, il risquerait de déplaire à quelqu’un. Un bon responsable n’est pas l’ami de tout le monde, car c’est ainsi qu’il freine les chances de succès de certaines activités.
La plupart des torts, ils les attribuent à leur personnel. Ils accordent à chacun la même attention et les complimentent (‘ bien bossé’). Et sur le plan du salaire, ils ne donnent pas plus aux plus talentueux qu’aux fainéants. Pour eux, cette approche égalitaire est honnête mais en fait c’est faux, car cela nivelle les talents vers le bas. Une entreprise s’épanouit lorsque ses collaborateurs ont la chance de grandir et d’avoir du succès ainsi que d’en être récompensés. Ce type de leaders va à l’encontre de ce principe.
Vous avez un tel patron et il a fini par partir ? Alors c’est à vous à diriger et vous savez à présent ce qu’il faut surtout ne pas faire.
(mr/sc) - Sources : BusinessWeek Magazine
13 janvier 2014Harcèlement, manipulation, santé mentale : ces sujets sensibles sont de plus en plus souvent abordés sur les lieux de travail d’aujourd’hui.
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