Le flexi-travail est un moyen pour les travailleurs fraîchement pensionnés d’arrondir leurs fins de mois à moindre coût. Concrètement, en tant que travailleur flexible, vous êtes autorisé à gagner jusqu'à 12.000 euros brut de revenus supplémentaires par an, et ce sans être imposé. Vous ne payez ni cotisations sociales, ni impôts sur votre rémunération flexible et vous accumulez également des acquis sociaux. Veuillez noter que le flexi-travail n’est autorisé que dans un nombre limité de secteurs ! En savoir plus…

Toute personne souhaitant recourir au flexi-job doit avoir travaillé au moins en 4/5èmes au cours des trois derniers trimestres pour un autre employeur. Depuis le 1er janvier 2018, les personnes pensionnées peuvent également exercer un flexi-job afin de bénéficier d'un revenu complémentaire en plus de leur pension. En savoir plus…

En tant que travailleur flexible, vous devez être rémunéré selon le salaire minimum du secteur dans lequel vous gagnez un revenu supplémentaire. Ce salaire minimum dépend du travail que vous effectuez. Aucun salaire minimum n'a été fixé dans votre secteur ? Dans ce cas, vous percevrez un salaire au moins égal au RMMMG (revenu minimum mensuel moyen garanti). Selon le secteur dans lequel vous travaillez, vous pourriez encore vous voir octroyer un supplément en cas de travail le dimanche, un jour férié ou la nuit. En savoir plus…

Les emplois flexibles ne sont pas (encore) possibles dans tous les secteurs. En revanche, ils sont déjà possibles dans 22 secteurs différents : commerce de détail et coiffure, boulangerie, magasin d'alimentation, commerce de détail indépendant, entreprise alimentaire de taille moyenne, commerce de détail alimentaire, soins de beauté, soins de santé, garde d'enfants, transport d'élèves, enseignement, etc. En savoir plus…

Oui. En tant que flexi-jobber, vous devez travailler un minimum de 3 heures et un maximum de 9 heures par jour. Des exceptions sont toutefois envisageables. Sous réserve de motivations explicites, un employeur de l’Horeca peut par exemple vous laisser travailler un minimum de 2 heures et un maximum de 11 heures par jour. En savoir plus…

Le flexi-job est autorisé uniquement pour gagner un revenu supplémentaire en plus de votre travail principal. Les chômeurs ne peuvent donc pas exercer de flexi-job. Attention, tous les employés n’y ont pas non plus automatiquement droit. Vous devez avoir travaillé au moins à 4/5èmes au cours des trois derniers trimestres chez un autre employeur. Cette condition est vérifiée tous les trimestres. En savoir plus…

Si vous êtes actuellement au chômage, mais que vous travailliez au moins à 4/5èmes depuis 9 mois, vous pouvez tout à fait exercer un flexi-job. Attention : vous perdrez alors (partiellement) vos allocations de chômage car vous ne pourrez pas percevoir à la fois les allocations et la rémunération du flexi-job le même jour. Vous êtes autorisé à exercer en flexi-job même si vous percevez une indemnité de licenciement, à l'exception près que cela ne peut être dans l'entreprise qui vous a licencié. En savoir plus…

Depuis le 1er janvier 2018, les personnes retraitées peuvent également exercer un flexi-job. Si vous n'avez pas encore 65 ans, vous ne pourrez commencer à travailler en tant que flexi-jobber que si vous étiez déjà à la retraite à la fin du deuxième trimestre précédant le trimestre du début du flexi-job. En savoir plus…

Tout comme les autres fonctionnaires, le personnel enseignant peut également exercer un flexi-job après ses heures de travail. Si vous êtes enseignant permanent, vous pourrez le faire toute l’année mais, si vous enseignez à titre contractuel, vous ne pourrez pas flexi-travailler pendant les mois d'avril, mai et juin, car vous serez officiellement au chômage pendant les vacances d'été, même si vous percevez un salaire différé. En savoir plus…

Oui, la combinaison d'un crédit-temps ou d'un congé thématique avec un flexi-job est possible, mais à deux conditions : l’une doit être remplie au préalable et l’autre pendant l'interruption de carrière. En savoir plus…